L’IA via l’ensemble des études démontre un apport de productivité significatif, surtout les technologies d’IA génératives qui sont utilisées dans diverses tâches quel que soit le métier concerné.
Dans le passé nous avions des études, recherches menées par divers organismes qui prédisaient des réductions d’emplois très importants, plusieurs années après la sortie de ces études il n’y a pas de démonstrations factuelles, en tout cas dans les papiers que nous avons étudiés, de destruction nette d’emploi. En effet il est plus démontré un accroissement de la productivité, une amélioration qualitative également que des remplacements d’humain par des robots.
Les taches les plus répétitives et simples comme l’écritures sont les plus évidentes en améliorations directes, néanmoins on constate des taches plus complexes accomplies par les agents, notamment quand l’IA est personnalisée et intégrée dans le flux de travail.
On peut constater également que les individus les moins expérimentés et moins qualifiés bénéficient le plus de l’IA. En revanche les plus experts ou les plus performants ont moins de bénéfices à ce stade. Cela est à relativiser compte tenu des apports de productivité déjà démontrés y compris pour les plus performants et ce quel que soit le métier.
On remarque que les études sur l’impact économique suggèrent que l’apport de productivité de l’IA sera comparable à l’électricité dans les années 1920 en Europe, la croissance de productivité devrait augmenter de 1,3 point de pourcentage par an à partir de 2024.
Manuel diffusé par Bruno Quémener - Pionnier de l'innovation et expert en transformation numérique des PME - ETI
Visionnaire et pragmatique, Bruno a fondé Move2.digital en 2020 pour mettre ses 20 ans d’expérience au service des dirigeants soucieux de l’avenir de leur entreprise. Expert reconnu dans son domaine, ses conseils sont suivis par plus de 10’000 professionnels. A l’écoute de vos besoins, il est votre interlocuteur privilégié pour votre projet d'innovation et de transformation digitale.